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CBD et test salivaire : ce que tout conducteur devrait savoir

Publié le : 27 Novembre 2025

Un plaisir botanique… mais pas sans conséquences.
Dans l’univers du CBD haut de gamme, où se mêlent culture, artisanat et raffinement sensoriel, une question juridique demeure trop souvent ignorée : que se passe-t-il si l’on prend le volant après avoir consommé du CBD ?
La réponse, hélas, mérite la plus grande prudence.
Chez Maison NASSOY-LE-BARON, nous pensons que la transparence et l’éducation sont aussi importantes que la qualité des fleurs. Voici donc un éclairage nécessaire, à l’intersection du droit, de la chimie… et de la route.

CBD et test salivaire CBD et test salivaire

Une législation stricte, sans distinction

En France, la loi ne fait aucune différence entre THC psychotrope… et trace résiduelle. Le Code de la route est sans nuance : tout test salivaire positif au THC, même en microdose, est passible de sanctions pénales.

Et c’est là que le bât blesse : si le CBD est légal (à condition de contenir moins de 0,3 % de THC), il peut tout de même laisser des traces détectables dans la salive, car les tests utilisés par les forces de l’ordre sont hypersensibles.

Des tests calibrés pour détecter l’infime

Les tests salivaires de type D.R.E.G., DrugWipe ou encore Dräger (utilisé par les forces de l’ordre en France) sont conçus pour repérer le THC, même à des seuils extrêmement bas. Ce qui veut dire :

  • Une consommation régulière ou occasionnelle de CBD, même conforme, peut entraîner un test positif
  • Une seule vaporisation ou infusion peut suffire, selon le métabolisme
  • Ces tests ne distinguent pas l’origine du THC (CBD ou cannabis récréatif)

Et surtout : la présence de THC, même infime, reste pénalement répréhensible. La nature du produit consommé ne change rien aux conséquences.

Les risques en cas de contrôle

Les sanctions encourues sont sévères :

  • Retrait de 6 points sur le permis de conduire
  • Suspension du permis (jusqu’à 3 ans)
  • Amende pouvant aller jusqu’à 4 500 €
  • Peine de prison en cas de récidive ou d’accident
  • Fichage au fichier des auteurs d’infractions

Même une contre-analyse sanguine peut ne pas suffire à vous disculper si du THC est encore présent.
Et il faut le rappeler : il n’existe pas encore en France de seuil minimal autorisé, comme c’est le cas pour l’alcool.

Précautions à prendre pour rouler serein

Chez Maison NASSOY-LE-BARON, nous recommandons à nos clients :

  • D’éviter toute conduite pendant plusieurs jours après une consommation de CBD, même légère
  • De privilégier des produits à très faible taux de THC, testés en laboratoire
  • De conserver les certificats d’analyse fournis avec nos produits
  • De ne jamais mélanger CBD et alcool ou tout autre produit avant de prendre le volant

Car si le plaisir d’un bon CBD est un art de vivre… il ne doit jamais compromettre votre sécurité ni votre permis.

Conclusion : un luxe éclairé, une responsabilité partagée

Le CBD, même légal, n’est pas sans conséquence sur la route. Et la sophistication d’un produit bien choisi ne vous exonère pas de connaître la loi.
Notre engagement, chez Maison NASSOY-LE-BARON, c’est de vous offrir des produits d’exception, mais aussi les informations nécessaires pour en profiter avec discernement.

🌿 Pour en savoir plus sur nos produits testés, traçables et raffinés :
👉 https://maisonnassoylebaron.com/10-fleurs